ICI ORLEANS 1985/2025

40 ans de proximité avec les habitants du Loiret

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Radio France Orléans nait le lundi 4 février 1985  sur les cendres encore chaudes de Radio Centre (ex- FR3 Radio Centre, passée dans le giron de Radio France en 1983). La station se voit attribuer la fréquence 100.9 en remplacement du 99.2 qui devient exclusivement un relais passif de France Inter. Le statut de la 22eme station locale du groupe Radio France est  d'etre une station émettant uniquement sur le Loiret! (Radio Centre émettait sur 4 départements jusque là).  Un programme local est diffusé entre 7 heures et 13 heures, puis de 18 à 19 heures. 5 journalistes assurent la collecte d'information et la présentation des journaux sur l'antenne. La nouvelle radio émet pour le moment dans les locaux de FR3, implantés dans le quartier de la Source d' Orléans. Mais très vite le démènagement est envisagé, pour bien marqué la rupture entre les 2 groupes du service public. C'est dans les locaux d'un ancien magasin de meuble de la rue d' Illiers que vont se porter le choix  du premier directeur: Gérard Couderc. Les travaux débuteront dans le courant de l'été 1985 pour une livraison en juin 1986. C'est véritablement en septembre 1986 que Radio France Orléans prendra son envol sur la bande FM. Elle débauche à cette occasion quelques animateurs de la radio concurrente ORLEANS FM: Dominique Revert, Pascal Foucault et Franck Mathiau. Partie dans les sondages d'un 0.6% en juillet 1985, la radio gagne que 0.9% d'audience en plus en juillet 1986 avant de faire un bond à 5% à l'automne 1987. L'envol a bien eu lieu...

Tout au long de cette année, labandefmduloiret va essayer de vous apporter des témoignages et quelques surprises liées aux 40 ans de cette station FM sur cette page. 

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> QUESTIONS A...CAROLE MIKO

Pour l'anniversaire de la radio, Labandefmduloiret voulait le témoignage d'une grande voix de la station. Tout naturelement, le nom de Carole Miko est sorti du lot. Gentille , souriante et disponible, c'est Place du Martroi, autour d'un verre que Carole revint sur sa carriére.

*Comment à tu découvert la radio?

C'est grâce à mon frére qui avait une émission sur une radio à Longjumeau, Radio Postillon, et qui m'a emmené dans les studios . Moi je voulais alors devenir commissaire de police....Le virus de la radio m'a rattrapé. Malgrè un bac et une année de droit, j'ai tout laché pour rentrer au Studio Ecole de France. J' y ai fais 2 années! Pour  l'anecdote, mon frère rentra dans la police par la suite!

A cette issue, je postule dans plusieurs radios dont le groupe Radio France. A l'automne 1987, je débute sur Radio France Isére, animant la tranche 19h15/22h.

En 1990, je demande Orléans pour me rapprocher de ma famille qui vit dans la région...mutation accordée! Et voila comment je rentre à Radio France Orléans! Je vais y passer 22 années de ma vie!!!

*Quelques souvenirs ou anecdotes Orléanaises?

A mes débuts, j'animais avec Hervé Lutin un jeu de défi au nom du "Miko lutin", entre 11h et 13h. On y eu de bons moments . Le mardi soir, on enregistrait un jeu entre 2 villages, façon intervilles. C'était le "grand jeu"qui était ensuite diffusé toute la semaine en fin de matinée. L'ambiance et le contact des gens était formidable. On finissait souvent notre soirée vers minuit autour d'une pizza à l' Arlequin , à 2 pas de la radio...

Il y eu le parcours de la flamme olympique en 1991 qui traversa le Loiret entre Pithiviers et Tavers. Mon défi fut de prendre la torche et de parcourir une petite distance avec. Pas simple au vu du protocole stricte...mais je réussi mon défi. Je me retrouva à courir avec la flamme olympique dans ma main ! Hélas, je chuta à terre avec la torche!!!

Mon fils a poussé presque son premier cri grâce à ce même Hervé lutin qui se déplaça jusqu'à ma chambre de maternité pour donner de mes nouvelles aux auditeurs, micro à la main!

Le 1er janvier 2000, après une nuit bien copieuse et arrosée, arrivant à la derniére minute à la radio, j'ai tenue l'antenne dès 7 heure avec un autre animateur...A 2 on a réussi à assurer jusqu'à 13 heure! Un exploit... On faisait des canaulars à l'antenne et on voulut appeler les renseignements téléphoniques pour en faire un...sauf que la personne au bout du fil me reconnu direct à ma voix! De même , j'avais émis en voeux de rencontrer un jour 3 hommes que j'admire: Jean Paul 2 , jacques Chirac et Jean Pierre Sueur, sénateur du Loiret. Quelle fut ma surprise en voyant rentré dans le studio quelques instants plus tard ce dernier personnage venant me souhaiter la bonne année!

J' adorais faire la matinale. On est dans l'intimité avec l'auditeur dans sa cuisine, salle de bain ou même dans son lit. C'est souvent LA premiére voix au réveil.

¨*Quelle est le plus mauvais souvenir?

Certainement lorsque je me suis cassée la cheville lors d'une pause cigarette sur le trottoir de la rue d' Illiers en glissant sur la bordure! Quand les pompiers m'on mis dans l'ambulance, optimiste, je lance à mon directeur cette phrase..."je reviens lundi, je serai là à l'antenne"...Sauf que cette blessure me coupa des micros 6 mois! Ce fut le début de la fin pour moi au sein de France Bleu Orléans. J'ai préférée partir de moi même avant qu'on me quitte quelques temps plus tard. c'est comme dans un couple. Mais je garde des contacts avec pleins de gens de la radio, et d'auditeurs aussi!

*Ta carrière radio fut donc exclusivement Orléanaise?

Non! En 1993 , je part sur mutation à Guéret, à Radio France Creuse. J'y suis restée une année avant de revenir en terre Orléanaise! Je garde en mémoire la soirée du réveillon de Noel  , en direct à l'antenne. Déguisée en pére Noel, je parcourais la campagne pour distribuer dans les campagnes des cadeaux de la station aux auditeurs .Je recevais un accueil chaleureux et ému ...C'est de la radio comme je l'aime, avec de la proximité!

En 1998, cerise sur le gâteau, je faisais les nuits sur France Inter, entre 1h et 5h du matin. c'est Macha Béranger avec sa voix magique qui  me passait  le relais d'antenne! Un moment inoubliable! Les 2 premiers heures de mon émission nocture étaient consacrées à des rubriques comme la cuisine ou le jardinage. Puis de 3 h à 5h, c'était une émission enregistrée. En attendant le top horaire, je jouais aux cartes avec les techniciens!

*Un souhait pour le futur Carole?

Déja je veux remercier Michel Bruno, Antoine et Philippe qui m'ont fait progresser en tant que directeurs, avec des projets . On savait faire la fête, on avait des coups de gueules, des fou-rires ..mais une ambiance de travail qui nous faisait aller de l'avant!

Mon rêve serait de refaire de la radio! Je lance  ici un appel en ce sens! Même une heure, ou une petite rubrique...La radio me manque. Je suis à l'écoute de toute proposition pour en refaire. Le contact avec l' auditeur me manque, cette proximité avec lui et cette complicité...Oui, la radio me manque.

L'appel est lancé. Un grand merci Carole pour ces souvenirs.

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>QUESTIONS A...ANTOINE MAESTRACCI

Il fut le directeur le plus longtemps en place, entre 1996 et 2008. Qui mieux qu' Antoine Maestracci pouvait revenir sur l'histoire de cette radio.

*Parlez nous de votre votre arrivée à Orléans...

Il y avait une attente de l' équipe en place et de la direction de Radio France à l'époque pour redresser la station. Radio France Orléans faisait alors 3% d' audience. Il était même question de fermer cette locale pour certains...Je me suis attelé à cette tache de redynamiser l' antenne: l' équipe était fatiguée par le peu de résultat en plus. Je suis parti de l'idée que Radio france Orléans manquait  d' identité. Il fallait lui en donner une , avec un choix à faire entre le bassin de vie d' Orléans ou tout le Loiret. J'ai choisi l'identité urbaine en mettant en avant Orléans aux travers des évènements comme le zénith qui ouvrait ou des émissions comme le city-reporter! ( nb: d' ou Orléans dans le nom de cette locale)

*Quel regard gardez vous de vos années France Bleu Orléans?

Un immense plaisir de ces années-là avec tout un travail d'équipe et le plaisir du résultat! J'ai le sentiment d'avoir dirigé cette radio à un moment ou la ville évoluait. C'était exitant de faire de la radio à cette époque chargée d' évènements (montée de l'entente en pro A , festival de Loire...) et d' ouvertures (Zénith, Astrolabe, tramway...). A mon départ en 2008, j'ai laissé une radio respectable et écoutée!

* Vos meilleurs souvenirs de la rue d' Illiers...

Oh, il y en à plusieurs! L'organisation des concerts place de la République pour la fête de la musique le 21 juin avec la foule autour de notre podium... La montée en pro A de l'entente Orléanaise en basket, la radio retransmettait tous ses matchs à l' antenne depuis des années alors!  Les soirées électorales aussi avec toute une équipe impliquée et des hommes politiques locaux qui se pressaient à notre micro.  Je dirai aussi le premier sondage à 2 chiffres de Radio France Orléans, le dynamisme et la notoriété de l'antenne était récompensé!

*Votre plus mauvais souvenir?

Je me suis battu des années pour ouvrir un émetteur sur GIEN ,ville ou nous étions trop mal reçue depuis le 100.9. Je me suis fais mal voir de ma direction parisienne pour juste demander une couverture correcte et parfaite du département! Mais au final, une fréquence fut trouvée pour la radio...

*Y' a t'il une émission qui vous à marquée?

Oui! "Le grand bûcher", sur une idée de Philippe Magnier, mon responsable des programmes. On est parti de l'idée que les émissions politiques faisaient peu d' audience. On a constaté d'autre part avec l'arrivée d' internet qu' Orléans comptait plusieurs blogs citoyens. D 'ou  cette idée de réunir autour d'un micro ces bloggeurs encadrés avec un journaliste et un animateur de la radio sur des thémes d'actualités locales ou pas! Cette émission a permis de toucher un public plus jeune et d'augmenter sensiblement d'audience en fin de journée. Cette émission à contribuer à faire de France Bleu Orléans un média incontournable . Cette émission agaça aussi fortement la direction parisienne de Radio France mais j'assume complêtement "le grand bûcher!" Aujourd'hui encore, des gens me parle de cette émission qui fut retirée de l'antenne il y à quelques temps.

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--------QUELQUES TEMOIGNAGES POUR LES 40 ANS DE LA RADIO------

Philippe Magnier (directeur):

"Dans les années 90 , dans le cadre d'une campagne publicitaire (un visuel avec des poissons) , la station avait carrément fait installée un bassin devant ses locaux de la rue d'Illiers .Et bien sûr à l'intérieur de celui-ci avait été mis des poissons . Les gens venaient avec leur matériel faire une pêche miraculeuse ! Plus insolite , une personne s'était même baignée dans ce bassin . Dire que des publicitaires avaient été payé pour ça!"

Will (accueil et standardiste):

"Dans quelques mois, mon troisième livre verra le jour ! Un récit intime et passionnant qui vous plongera au cœur d’une radio locale, là où la magie du direct se mêle aux imprévus, où les coulisses réservent autant de surprises que les ondes elles-mêmes. À travers mon regard de chargé d’antenne, je vous emmène dans les méandres du quotidien radiophonique : les moments de tension, les égos à gérer, les arnaques surprenantes… mais aussi la force du lien unique qui unit les auditeurs et l’équipe. Car derrière chaque micro, il y a des voix, des vies et des histoires inoubliables. Anecdote 1 : Quand la radio devient une chaîne de solidarité En pleine épidémie, alors que les rendez-vous pour la vaccination se prenaient en ligne, j’ai été sollicité par des auditeurs âgés ou sans internet, perdus face à la technologie. Sans hésiter, j’ai créé des comptes Doctolib, pris des rendez-vous pour eux… La radio est devenue un véritable pont entre générations, un lien de solidarité inattendu mais profondément humain. Anecdote 2 : Le jour où un auditeur a (presque) tout révélé en direct Un jour, un auditeur participait à un jeu en direct. Tout semblait normal, jusqu’à ce qu’un bruit de fond étrange se fasse entendre… un film pour adultes diffusé chez lui ! Malaise en régie, éclats de rire nerveux… Nous avons appris plus tard que cet auditeur était en réalité le gérant d’un sex-shop ! Une séquence qui restera gravée dans les annales (et les oreilles) de la radio. Ce livre est une déclaration d’amour à ce métier, à ses hauts comme à ses bas. Une immersion dans un univers où la passion et l’esprit d’équipe font vibrer les ondes. J’ai hâte de vous le faire découvrir ! Restez à l’écoute pour la date de sortie officielle… et d’ici là, à très vite sur les ondes" !

>Lydie Lahaix (journaliste):

"Moi qui suis à FBO depuis 2001, j’ai vécu plein de chouettes moments. Pour les journalistes les meilleurs ce sont les soirées électorales, où on travaille tous ensemble en même temps. . Pour les journalistes les meilleurs ce sont les soirées électorales, où on travaille tous ensemble en même temps.on est on est présent quasiment partout et on est les premiers à avoir les réactions, c’est la force de la radio! Mes meilleurs souvenirs sont évidemment aussi en sport avec l’OLB les matchs à Bercy 2006 et 2009 et puis ensuite en coupe d’Europe. Et puis dernièrement le parcours de la flamme olympique le 10 juillet dernier et le Tour de France la veille, j’aime ces grands rendez-vous populaires qui unissent les gens, le sport procure des émotions qui sont passionnantes à retransmettre à la radio. J’aime le direct et l’actualité c’est aussi pour cela que je fais des journaux le matin, depuis si longtemps. C’est un beau métier et je suis vraiment heureuse et chanceuse de travailler pour le service public".

>Caroline Prian (ancienne chroniqueuse):

"Joyeux anniversaire ICI Orléans , une radio qui fut Radio France Orléans où j'avais une rubrique avec Jacques Sauvage dans le studio vitré de la rue d' Illiers dans les années 90 , Un vrai régal , les micro-trottoirs pour la sortie de Jurassic Park ou autres ! Big up aux équipes de montages de l'époque , Interview de Catherine Lara avec les blagues des collégues...Que de beaux souvenirs".

>Delphine Garnault (directrice ICI  Mayenne):

"Je réfléchis pour un souvenir....Mais c'est tout bêtement mon CDI à Radio France , mes débuts de journaliste rue d'Illiers ... La radio avait une très belle façade en bois , et c'était une super chouette équipe ! J'y est fais les matinales et j'adorais cela :réveiller les auditeurs dans la bonne humeur ! On recevait aussi des stars comme Françoise Hardy , Michel Fugain etc..."

>Philippe Guitton-Boussion (animateur sur ICI Mayenne):

"Ah Radio France Orléans ...Ma première radio locale de Radio France ! J'y suis entré en même temps que Bruno Berthier qui l'anime toujours. Je me souviens de recontres mémorables avec Françoise Hardy Michel Fugain Dick Rivers ou encore Alexis Gruss. J'y ai vu Murray Head chanter avec Carole Miko sur la place du Martroi... Les passants trouvaient qu'il chantait bien pour un chanteur de rue !!! J'ai beaucoup appris durant 4 ans et j'ai découvert une ville et un département que je n'aurais jamais visité sans Radio France Orléans 100.9 et 106.8 Après y'a eu Quimper et Laval mais c'est à Orléans qu'on m'a donné ma chance !"

>Bertrand Bonnetier (ancien animateur):

"En 1988 ou 1989 (je ne me souviens plus de l'année exacte), Radio France Orléans à mis à l'antenne une émission consacrée à la musique classique le dimanche après-midi (juste après le journal de France inter de 13h). Cette émission était présentée par Christophe Moreau qui était attaché de presse à Paris "dans le civil". A cette époque, j'étais au conservatoire d'Orléans et la directeur savait que je rêvais de travailler à la radio ( ce que j'ai pu faire quelques années plus tard). Il me fit rencontrer les équipes de RFO en me désignant "agent de laison" entre la radio et le conservatoire. Le dimanche, je me retrouvais donc en studio en tant qu'observateur. Un dimanche, je me souviens avoir écrit une critique d'un concert ayant eu lieu dans la semaine. Je présente mon texte à Christophe Moreau pour lui demander ce qu'il en pense. Il le lit, ne me dit rien et part en régie. Il revient, me tend le papier, et me dit, "je te lance à l'antenne après ce disque pour présenter ta critique". C'est comme ça que je suis devenu chroniqueur de "la minute de Bertrand" tout les dimanches dans son émission qui n'a durée qu'une saison. Christophe Moreau est parti en cours de saison et à été remplacé par Clara Tambour. (C'était un speudonyme ,je ne me souviens plus de son vrai nom mais son prénom était Clarisse .Elle est ensuite partie sur RTL). Suite à cet expérience, j'avais postulé pour reprendre l'émission, que qui avait été refusé par la directrice d'antenne de l'époque , hélas. C'est ce qui m'a fait proposer à Radio Arc-en-ciel une émission de musique classique qui est resté à l'antenne jusqu'à mon départ d'Orléans en 1992".

(ci-dessous , un conducteur de l'émission du dimanche 19 mars 1989 / archive personnelle de Bertrand)

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>Marie-Blanche Boissy (fidèle auditrice):

"J'écoute Radio France Orléans depuis sa création . Je suis très fidèle à cette radio de proximité qui diffuse des émissions très interessantes sur tous sujets et accessibles à tout public et au plus près de notre région. Pensée pour cette radio à qui je souhaite encore de très longs jours de diffusion devant elle".

>Benoit Biard , créateur de LabandefmduLoiret.com :

"C'est en pré-apprentissage que j'ai découvert Radio France Orléans , grâce à l'épicier qui était voisin d'où je travaillais , au centre ville de Saint Jean de la Ruelle . Lorsque j'allais chercher des courses dans son magasin , Monsieur Christian Noel avait la radio branchée sur le 100.9 , qu'il écoutait à longueur de journée . Il me parlait régulièrement de cette station , avec ses animateurs et sa programmation .Il était tellement amoureux de Radio france Orléans qu'un autocollant de la station était même collé sur son tiroir-caisse!"

"La première fois que j'ai franchi la lourde porte de la rue d'Illiers , c'était par un beau samedi de juillet 1990. Alors appelé du contingent , j'avais profité d'une permission pour venir chercher le guide des fréquences de Radio France. Il était de couleurs bleu et je l'ai toujours d'ailleurs! J'étais intimidé par l'endroit , c'était une première pour moi que de mettre les pieds dans les locaux d'une radio . Mon passage fut donc bref à l'accueil malgré mon envie de découvrir Radio France Orléans".

>Michel Brunot, le 1er responsable technique:

"Avec l'émetteur de Trainou de faible puissance, On était mal entendus sur la ville d' Orléans, c'était le paradoxe! Pendant des années, , et je le disais à Paris, on faisait la radio pour les corbeaux et les betteraves!"

 

 

>DU COTE DES ARCHIVES VISUELLES DE FR3:

Le lancement de Radio France Orléans et l'état de la bande FM de la cité Johannique:

Reportage sur les 30 ans de la station via le journal régional (février 2015) :

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 Remerciement à ICI Orléans, La République du Centre et France 3 Centre pour la réalisation de cette page, ainsi qu'aux personnes citées ici.